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 Enyko C. Lane × La paix n'est pas une utopie...

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Enyko C. Lane

Enyko C. Lane


Messages : 7
Date d'inscription : 24/08/2013

Pièce d'identité
Race: Player
Métier: Chef des Jokerz'

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MessageSujet: Enyko C. Lane × La paix n'est pas une utopie...   Enyko C. Lane × La paix n'est pas une utopie... Icon_minitimeLun 26 Aoû - 20:54



LANE Enyko
ft. Mikasa Ackerman [Shingeki no Kyojin]


Identifiez-vous


    Nom : Lane
    Prénom(s) : Enyko
    Surnom(s) : Cerberus, Chef ou encore Capitaine, même si elle se bat pour que ses camarades l'appellent Nyki.
    Âge : 23 ans
    Catégorie : Player
    Clan : Jokerz'
    Rang au sein du groupe : Chef des Jokerz'
    Orientation sexuelle :Hétérosexuelle




Description physique
« Maman me disait toujours : ce n'est pas le physique qui compte. Papa haussait alors les épaules et détournait le regard. »

Dans un monde surpeuplé, il est impossible de ne pas croiser des personnes, des grandes, des petites, des femmes, des hommes, des travestis et que sais-je encore. Toutes ces personnes font cependant partie d'une même race : les humains. Il y a alors deux catégories : les originaux, ceux qu'on repère et qu'on n'oublie pas ; et les communs, qu'on ne distingue pas dans la masse d'une foule mais qui pourraient, étrangement, s'avérés plus importants que ceux qui s'en donnent l'air. Enyko est de ceux là. A première vue, elle ressemble à la plupart des femmes d'O'neiro. Elle n'est ni très grande, ni trop petite, son mètre soixante-quatorze est plutôt passe-partout, tout comme son physique. Sa peau est pâle, mais pas de quoi alarmer les gens sur son état de santé. C'est une blancheur laiteuse, qui lui donne presque un petit air de poupée fragile, un air rapidement annihilé par le sérieux de ses traits.

On aurait tort de sous-estimer l'effet d'un froncement de sourcils, d'un pincement de lèvres, ou encore d'un regard vide de toute émotion particulière. Avec une telle attitude, il y a de quoi déconcerter n'importe qui, à commencer par ses propres camarades. Vous l'aurez compris, Enyko n'est pas le genre de personne vers qui on se tourne d'instinct. Son visage n'est pas ingrat, mais elle agit toujours de telle sorte que peu de gens osent l'approcher. Cependant, ses grands yeux marrons expriment facilement les émotions qu'elle dissimule derrière son masque froid. Aussi, elles les cache bien souvent derrière ses cheveux. Ceux-ci sont noirs, coupés au carré, et une grande mèche scinde son visage en deux. Banal, tout est affreusement banal chez elle, mais ce n'est pas pour lui déplaire, bien au contraire.

Côté vestimentaire, là encore, la jeune femme a une nette préférence pour les tenues sobres et pratiques. Exit les robes et autres vêtements avec lesquels il est impossible de courir, bonjour aux habits masculins et peu attractifs. C'est ce que vous vous dites ? Vous êtes proches, même si la fin est assez éloignée de la vérité. Certes, vous n'aurez aucun décolleté à vous mettre sous les yeux, mais le côté moulant de sa tenue principale a déjà fait pas mal de victimes - Enyko punit chaque regard soutenu d'une bonne tape derrière la tête. Elle porte donc une sorte de chemisier qui lui colle au corps et qui met involontairement en valeur sa poitrine. Par dessus, vous verrez très souvent une veste marron ornée, sur le bras gauche, d'un logo sans réelle signification, le tout surmonté d'une écharpe d'un rouge plutôt terne, comme si la jeune femme la portait tous les jours depuis des années. Ce qui est effectivement le cas. Plus bas, vous pouvez voir une jupe assortie à la veste, fendue sur le devant. Elle est astucieusement placée au dessus d'un leggings blanc. De grandes bottes noires ou marrons lui remontent jusqu'aux genoux. Autre détail important, vous pouvez remarquer de nombreuses sangles sur ses hanches, ses cuisses, bref, un peu partout. Certains sont décoratives, d'autres servent à maintenir un système mécanique rangé dans deux grandes boîtes de fer, de part et d'autre de ses hanches. Il s'agit en vérité d'un moyen de déplacement rapide à l'aide de grappins, mais qui nécessite de gros efforts physiques. Ces boîtes servent également de fourreaux aux deux katanas que la jeune femme manie avec dextérité.

Enyko est donc une demoiselle fort banale, malgré quelques détails insolites. Elle se fiche un peu de son apparence et porte rarement des tenues qui pourraient la mettre en valeur. Un véritable garçon manqué en quelque sorte.



Description mentale
« Avec des potes, on n'arrêtait pas d'embêter les filles trop féminines, celles qui se prenaient pour des petites dames. Je rigolais bien, mais peut-être qu'au fond, je les enviais. »

Dès les premières secondes, il est aisé de comprendre qu'Enyko n'est pas du tout le genre de fille avec qui il est facile de faire ami-ami. Très rares sont ses sourires, et encore plus rares sont ses rires. Certes, vous pourrez parfois apercevoir un rictus moqueur, mais rien à voir avec les doux étirements de lèvres qui traduisent l'amusement gentillet et simple. Elle est une personne plutôt froide et qui prend facilement la mouche. Toutefois, elle est loin d'être spécialement violente, elle a beau être le chef d'une rébellion, elle use le moins souvent possible de la force physique, sauf pour sermonner ceux qui laissent traîner leurs yeux. La jeune femme est donc assez renfermée, mais cela ne l'empêche pas d'être facilement inquiète pour ses camarades. Leur vie est très importante à ses yeux, jamais il ne lui viendrait à l'idée d'organiser une attaque kamikaze ou encore moins d'engager une mission qui a de fortes chances de se solder par de nombreuses pertes humaines.

Très réfléchie, elle aide à la conception de la plupart des plans et s'organise pour que chaque division puisse s'investir. Elle est à l'écoute de ses compagnons et aimerait qu'ils soient moins formels envers elle. D'ailleurs, elle refuse bien souvent de se présenter comme étant le chef. Modestie ? En partie. Elle dissimule simplement son cruel manque de confiance en elle. Enyko n'aime pas parler d'elle, et encore moins raconter ce qui lui pèse sur le coeur. Elle encaisse. Il n'est pas question d'un manque de confiance en autrui, loin de là, elle n'a seulement aucune envie de se confier. Et au final, elle peut finir par craquer. Mais jamais devant quelqu'un. Elle préfère partir se balader dans les souterrains ou dans les ruines de l'ancienne capitale. Le rôle de chef lui pèse pas mal sur les épaules, mais elle tient le coup sans jamais rien montrer. Elle est ainsi Enyko, forte en apparence, mais d'une fragilité étrange en profondeur. Enfin, vous avez peu de chance de le découvrir, alors n'y prêtez pas trop attention.

Sa principale qualité ? Si vous demandez à ses camarades, ils vous répondront sans même avoir besoin de réfléchir que c'est sa détermination. Enyko n'abandonne jamais, elle se relève à chaque fois. A l'instar du roseau qui plie, mais jamais ne se casse, elle cloue le bec aux fatalistes qui disent que tout est foutu et ne reste pas bloquée sur des échecs. Oui, ils réussiront à renverser le C.H.E.S.S., à libérer O'neiro et à renvoyer les Players dans leur monde d'origine. Elle n'en doute pas une seconde et elle ne baisse pas les bras. Un défaut ? Là encore, les Jokerz' seront unanimes : sa gourmandise. Pas question de laisser traîner un paquet de biscuit ou du chocolat, tout ce qui est sucré à tendance à s'évaporer quand la chef est dans le coin. Ce n'est pas une calamité en soi, cela a juste tendance à faire grogner la personne qui voit son quatre-heures dérobé. Enyko est humaine après tout, il est normal d'avoir ce genre de faiblesse.



Talent
Last Sprint : Enyko peut augmenter la vitesse de son Number mais également la sienne, au point d'être quasi impossible à suivre des yeux pour une personne non habituée à ce type de combat. Toutefois, la vitesse peut parfois donner des élancements au niveau des muscles des jambes si le pouvoir est utilisé trop longtemps au cours d'une même journée.



Histoire
« Je ne sais pas si c'est le Destin qui m'a conduite ici, mais si je suis là, c'est que j'ai un rôle à jouer. En tout cas, pas question de rester moisir à rien faire. »

Un petit carton glissé dans une enveloppe, quelques mots imprimés dessus, ils composent une formule usée mais employée tout le temps : Izabella et Zander Lane sont heureux de vous annoncer la naissance de la petite Enyko. S'ensuit des indications fort intéressantes sur son poids, sa taille, l'heure de sa venue au monde. Bref, le faire-part de naissance typique, le genre qu'on lit, auquel on sourit, avant de le ranger dans un coin en se disant qu'on appellerait plus tard. Mais ce que ces cartons ne racontent pas, c'est l'état d'esprit des parents. Le père avait à peine vingt-cinq ans, la mère vingt-quatre. On était en 1990, et le fait de fonder une famille pouvait toujours autant effrayer certaines personnes. Ce fut le cas du pauvre père, fini les sorties, fini les tournées de bar avec les potes, bonjour responsabilités et gamin casse-burnes qui allait les réveiller toutes les nuits pendant quelques années.

Et effectivement, Enyko ne fut pas un bébé facile. Quand l'appartement n'était pas secoué par les pleurs du nourrisson, il était traversé par les éclats de voix des parents. Madame reprochait à monsieur de ne jamais s'occuper d'eux, monsieur répliquait alors qu'il en avait assez et qu'il aurait mieux fait de la laisser dans son pays de misère. S'ensuivait alors généralement les larmes de la jeune femme et le départ de son mari. C'était ainsi presque toutes les semaines. Mais entre ces périodes de crise, le couple parvenait parfois à se ressouder, sous la couette ou autour d'un dîner, et ils se murmuraient des « je t'aime » qui ne tarderaient pas à devenir des « je te hais ! » dès qu'ils seraient retourné à leur quotidien. Plusieurs fois, Izabella menaça de retourner en Hongrie, chez sa famille. D'autres fois, c'était Zander qui disait vouloir repartir dans son Angleterre natale. Mais finalement, ils restaient à Paris, par manque de sous ou par manque de volonté. Le bébé était mal dans sa peau, il déprimait, aussi incroyable cela puisse paraître. Les Lane se rendirent compte du mal être de leur enfant quand celui-ci finit par ne plus réagir à leurs sourires et leurs gazouillis. Ils durent alors consulter un médecin qui lui annonça le problème et leur conseilla de vite soigner leur couple. Les disputes incessantes généraient un climat de tension qui faisait souffrir leur fille. Ils firent donc des efforts, pendant au moins six mois, mais la guerre finit par recommencer.

Au milieu de tout cela, Enyko parvint tout de même à se développer normalement. Elle était cependant une enfant silencieuse et, à partir de ses deux ans, il lui arrivait même de ne pas prononcer un seul mot pendant une journée complète. Ses parents jetèrent vite l'éponge, ne consultèrent pas même un spécialiste et la laissèrent ainsi. Son père sortait de plus en plus souvent après le travail, sa mère buvait pour se calmer. Et les années passaient, inlassablement. On n'arrête pas le cours du temps. A l'école, la petite fille ne montra aucun trait de génie particulier, elle n'aimait pas rester enfermée en classe, elle préférait de loin le sport et la récréation. Et cela ne changea pas des masses durant sa scolarité.

Minimum 15 lignes pleines.



Qui se cache derrière le masque ?


    Pseudo : Ely'
    Âge : 19 ans ~
    Comment avez-vous découvert le forum ? Euh baaaah... Il est apparu devant moi 'o'
    Une quelconque suggestion à faire ? Ui ! Que l'autre admin' soit moins pervers, je sais que c'est impossible, mais bon ~
    Autre chose à dire ? Les bananes contrôleront le moooonde ! ♥

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